FairMail a été créé pour amener sur le marché des photos avec une perspective originale. Mais, le plus important, est d’accomplir notre mission sociale:
« offrir a chaque adolescent en situation difficile la possibilité de se construire un avenir meilleur. »
Ainsi, quel impact avons-nous développé au cours de nos sept années de fonctionnement ? En 2013, les 50 photographes adolescents on gagné au total 20 530 € pour investir dans leur éducation, le logement de leur familles et les soins de santé. Les meilleurs résultats au Pérou et en Inde sont respectivement pour Yomira et Sandhya avec 1 419 € 1 801 €. Whaou la puissance des filles ! En deuxième place se situent Elmer et Dhiraj avec 1 226 € et 1 306 € chacun. Mais qu’est-ce que les adolescents accomplissent avec leurs gains?
Les “décrochages scolaires” chez Fair Mail sont bien moindre que la moyenne nationale
Pour les adolescents, ces gains sont cruciaux afin qu’ils puissent réaliser leurs rêves. Cependant, l’argent en soi n’est pas une garantie de succès, tant celui-ci dépend aussi de leur persévérance, leur situation de famille et leur motivation vis à vis de FairMail. Pour ces diverses raisons, 20 % des adolescents ne sont jusqu’à présent pas parvenus au terme de leur engagement avec FairMail, fixé à l’âge de 19 ans. Les 10 adolescents que ce chiffre représente ont, soit perdu la motivation en cours de route, soit été tirés vers la bas par de «vieux amis», ou bien dû faire face à de tels problèmes personnels qu’ils ont du interrompre leur projet avec FairMail . Bien qu’il ne s’agisse que de la réussite de 40 adolescents, 86 % d’entre d’eux ayant débuté avec FairMail sont parvenus au terme de leur cycle d’éducation secondaire ou sont toujours scolarisés. Ce qui est positif comparé à la moyenne nationale de 52 % d’adolescents indiens qui achèvent leur dixième année ( ou 65 % pour les adolescentss du Pérou qui terminent leur cycle secondaire).
85% des adolescents FairMail poursuivent leur scolarité post-secondaire
Parmi les lycéens parvenus au terme de leur engagement avec FairMail (retraite à 19 ans), 35 % ont ensuite suivi un parcours ( pré- ) universitaire et 50 % ont opté pour une formation professionnelle. Seulement 15 % d’entre eux ont décidé d’interrompre totalement leurs études. Les raisons sont soit une impossibilité à poursuivre, soit un manque de fonds au terme de leur parcours avec FairMail .
78% des adolescents » retraités » de FairMail ont brisé la chaîne de la pauvreté
Actuellement, 68 % des 50 adolescents FairMail sont toujours engagés dans un parcours scolaire. Parmi les autres, 55% ont un emploi décent (dans le secteur du tourisme, de la construction ou de la vente) et 23 % ont créé leur propre entreprise ou sont travailleurs indépendants (qu’il s’agisse de production de ballon de football, de photographie ou dans le domaine de la mécanique). Ainsi, ils ont pu rompre la chaîne de pauvreté et envisager de fonder une famille qui soit en mesure d’offrir bien plus d’opportunités à leurs enfants qu’il ne le fut pour eux-même, dans la leur.
Tout n’est cependant pas partie gagnée. 22 % d’entre-eux sont toujours au chômage, en emploi précaire ou dans une situation marginale (qu’il s’agisse de manutention sur les marchés ou bien de prison) . 4 adolescents sur 5 qui sont dans cette situation sont ceux qui n’ont pu terminé le programme FairMail. Ceci démontre l’importance d’une approche et d’un accompagnement à long terme par FairMail .
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